Il est venu me chercher en voiture.

Je me suis affrétée à sa demande d une chemisette blanche col ouvert sur décolleté, une jupe droite mi cuisse, bas résilles. Rehausse de talons aiguille je m installe côté passager.

• Ecarte les cuisses.

Il s'assure que je n ai pas de petite culotte. Durant le trajet, il s'inquiète je suis tendue:

• Rassures-toi, tout ira bien.

• Ce n est pas cela. Je dois vous avouer quelque chose.

• Je t écoute.

• Un de mes ex sera présent.

• Et alors?

• A chaque fois que je le vois il est lourd et me vanne. Il prend plaisir a me tacler, surtout quand je suis accompagnée.

• Et c'est cela qui te perturbe à ce point?

Fais moi confiance et tout ira bien.

Il me fait un clin d oeil. Je lui souris soulagée. Je pose ma main sur sa braguette.

• Monsieur, je peux?

• Vas y.

Je m attelle a lui procurer une fellation, ma façon de le remercier. Et dire qu'il y a encore un peu plus d un mois je n aurais jamais osé telle pratique dans une voiture. Il se crampe au volant. Je l'avale. Je me relève, fière de ma prestation.

-T es vraiment une petite salope, ma petite salope.

Ai-je bien entendu? Je suis SA petite salope. La première fois qu'il m affuble d un pronom possessif, et j adore !

Ca me fait si plaisir que je me mets a fredonner la chanson de la radio : "like a virgin"

On arrive a destination.

Mon ex Max est déjà là et nous accueille sur le parking. Il serre la main de Monsieur et m embrasse en guise de bienvenue:

• T es sacrement roulée dans cette robe! Tu veux me chauffer ou quoi?

Fais pas cette tête. Ce que tu peux être prude.

Ca y est, on est a peine arriver qu'il commence. Alors que j allais répondre, Monsieur me devance:

• Désolé mon vieux. Vous avez eu votre chance et vous l avez laissé filé.

• Elle est certes bien roulée mais plutôt coincée. Tu t en rendras vite compte.

• Une femme n est coincée que quand on est dans l incapacité de s occuper d elle correctement.

Il se tourne vers moi et m embrasse a pleine bouche. Il s arrange pour me tourner dos à mon ex. Il passe sa main sur mes fesses et remonte légèrement la jupe mais suffisamment pour offrir la vue de mon cul nu à notre hôte.

Il relâche son étreinte, je suis rouge mais un peu excitée aussi, et se tourne vers Max:

• Quand on sait y faire...

Max est médusé (1-0 pour Monsieur). Monsieur m entraine a l intérieur de la maison ou nous attendent les autres convives. Mais je connais Max, il ne va pas en rester là.

Je présente Justine, Aurélien et mon cousin Julien.

La table est déjà dressée. Après les politesses d'usage nous nous asseyons. Max nous a rejoint, il demande à Justine de se déplacer à droite pour être en face de nous.

Le repas se passe à peu près sans encombre malgré quelques piques de Max que Monsieur cette fois ne relève pas. Et je viens de comprendre pourquoi. Sa main passe sous la table me forçant a ouvrir les jambes et en profite pour faufiler ses doigts agiles en moi.

Il me glisse à l oreille:

• N aie pas honte. Au contraire, sois fière. Regarde Max dans les yeux et provoque-le.

Je me redresse et plante mon regard dans celui de Max tandis que Monsieur joue avec mon clitoris. Il me semble que seul Max remarque notre petit jeu. Ca m excite d avantage de lui clouer ainsi le bec. Je me mordille la lèvre. Monsieur est vraiment très doué, même quand il ne voit pas ce qu il fait. Soudain mon ex se lève:

• Je vais faire le café.

Monsieur me glisse à l oreille:

• Regarde, il bande comme un taureau le cochon.

Je dirige mon regard vers l objet du délit. Max s en rend compte. Je pouffe de rire.

Il va à la cuisine, terriblement vexé.

La conversation reprend de manière courante sur la politique, l economie du pays...

Jusqu'à ce que Justine prête soudain l attention de l assemblée sur la disparition anormalement longue de Max pour la préparation d un café.

C est a ce moment qu'il fait son entrée avec le plateau de tasses.

Il sert tout le monde et finit par moi:

• Tiens. Un café avec crème. Tu devrais apprécié.

Le salaud, il a recommencé. Il m a déjà fait la blague il y a quelques années, alors que nous étions séparés depuis peu, et qu'il m avait tant énervé que je l avais affublé d un "petite bite" bien senti.

Monsieur, à ma mine déconfite, a compris. Max a éjaculé dans mon café.

Monsieur me sussure:

• Bois-le, d un trait sans le lâcher des yeux. Ne le laisse pas gagner. Pense que c est le mien.

Il a raison. Finalement du sperme c est du sperme. Ca doit pas être si terrible, ca doit ressembler a la liqueur de Monsieur.

Max me regarde éberlue boire sa sauce crème sans sourciller.

Bon en fait, rien à voir avec celui de Monsieur mais pas totalement dégueu non plus.

La tasse finie, Monsieur pousse le vice en essuyant le rebord de son index et à me le faire sucer. Décidément Monsieur est vraiment pervers. Mais sa main m excite à nouveau comme une folle sous la table. Le salaud, j ai de plus en plus de mal à me contenir. Heureusement, sans le savoir Justine vient à mon secours:

• Ca vous dit un poker? Comme avant.

La demande reçoit l accord collégial.

Elle apporte le jeu sur la table.

Max interpelle Monsieur:

• Vous vous joignez à nous?

• Ça marche.

Je ne sais pas ce que Max a derrière la tête mais je ne le sens pas.

• Et toi tu ne joue pas? Me lance Justine.

• A quoi bon, Max gagne à tous les coups.

Je reste à côté de Monsieur pour voir comment il s en sort. Mieux en tout cas que Justine, Julien et Aurélien. Aurélien et Julien profite de la perte de tous leurs jetons pour prendre congé. Justine veut voir la fin de la partie.

Max comme d habitude prend rapidement le dessus et Monsieur ne se retrouve plus qu'avec quelques jetons qu'ils misent mais ce n est pas assez. Max le relance:

• Eh bien qu'as-tu a m'offrir?

• Je mets ma montre sur la table.

• Ce n est pas suffisant.

• Que veux tu?

Max me montre de l index. Monsieur ne se démonte pas.

• Et que m offres-tu en échange si je gagne?

Quoi? Monsieur serait prêt a m offrir à lui? Pour un jeu? Et puis il est en train de perdre là.

La situation semble vivement intéressée Justine. Je l ai toujours trouvé jolie, élancée, sans être homosexuelle pour deux sous.

• Ce que tu veux. répond Max à Monsieur.

• Laisse-moi réfléchir. Il faut que ce soit de même niveau. Je sais si je gagne, tu éjacules sur les chaussures des filles et ensuite tu les lèches.

• Mais c est immonde!

Je reconnais bien là la perversité de Monsieur.

• Et bien quoi? Tu te couches?

• Ca va pas non. Je vais t écraser. T es bientôt à moi pétasse!

Combien de cartes tu changes?

• 3 cartes. T embêtes pas je les prends.

Monsieur tire les cartes sur le tas.

Max change une carte. C est mal barré.

Je tremble. J essaie de jeter un coup d oeil sur les cartes de Monsieur mais cette fois il me les cache.

• A toi l honneur l ami.

• Brelan de valets.

Annonce fièrement Monsieur

• Brelan de rois! Viens par ici ma jolie, ca va être ta fête!

Je lance un regard horrifié vers Monsieur. Son visage reste inexpressif:

• Excuse-moi. J ai fait une petite erreur.

Il dépose deux dames sur la table:

• Full de valets par les dames! Tu sais ce qu'il te reste à faire.

Au tour de Max d être horrifié.

• Non. Tu rêves. Je ne le ferai pas.

Justine le rappelle à l ordre:

• Tu as perdu. Tu ne peux plus te défiler. Viens payer ton dû.

Ca alors! Je n aurais jamais crû qu'elle le prendrait comme ça.

Je m assois a côté d elle:

• Dépêche toi!

Max la mine déconfite s agenouille a nos pieds et entame un va et vient sans grande conviction.

Monsieur me lance:

• Je crois qu'il a besoin d un petit encouragement.

Je soulève ma jupe. Les yeux rives sur ma chatte épilée et trempée, Max se branle plus énergiquement. Il met un peu de temps pour éjaculer mais finit par y arriver. Il se répand sur nos chaussures.

Justine écrase son autre chaussure sur le dessus de la tête de Max pour l obliger a se courber:

"Lèche maintenant!"

Ca m amuse de le voir ainsi, a lécher nos pieds de son foutre. Mais Justine décide de ne pas en rester là. Elle lui choppe la tête et lui enfonce le visage dans sa petite culotte.

Monsieur me tapote l épaule:

• Laissons les.

• Vous avez raison Monsieur.

On se dirige dans le hall d entrée.

• Attends. Je ne supporte pas de sentir l odeur de ce connard dans ta bouche. Suce-moi.

Je m'agenouille et le gobe. Il m attrape et se branle dans entre mes lèvres. Il s enfonce jusque dans ma glotte.

• N avale pas!

Il se déverse dans ma bouche.

On se dirige vers la voiture. il m ouvre la portière. Une fois à l intérieur, il me caresse l entrejambe et me procure un orgasme. Depuis le début de la soirée que j en avais envie. Un peu de liqueur s écoule de la commissure de mes lèvres entrouvertes.

• C est bien ma petite salope. Tu peux avaler maintenant.

Le moteur ronronne. Nous voilà sur le chemin du retour. Monsieur me demande:

• Dis-moi tu n'as pas beaucoup parlé durant le repas?

• Je ne savais pas trop quoi dire. Vous parliez politique, economie, des domaines dont je ne connais pas grand chose.

• Tu me déçois. Si tu veux pouvoir m'appeler Maître un jour, il va falloir étudier et combler tes lacunes. Je ne pourrais supporter de posséder une soumise inculte et sans conversation.

• Je suis prête à apprendre.

• Je te ferai donc la leçon.

• Au fait, vous étiez prêt à m offrir à Max?

Il rigole:

• Il trichait.

• Quoi?

• Durant le jeu j ai remarqué que certaines cartes étaient marquées. Du coup, au fur et à mesure, j ai marqué moi aussi certaines cartes. Et quand j ai tiré les dernières cartes, je les ai choisies.

• Je n ai rien vu et pourtant j étais a vos côtés.

• Le poinçon de ma chevalière ressort un peu ce qui m a permit d en imprimer le dos d une petite marque à peine visible.

• Et vous trichez souvent?

• Qu'avec les tricheurs.

• Vous jouez souvent?

• Je jouais dans un club fermé de semi-professionnel.

• Et vous ne jouez plus?

• Les mises sont... spéciales.

• J aimerais vous voir jouer.

• Tu n as pas peur?

• Pas avec vous.

• On verra...